Je suis à la convention de jeux vidéo annuelle PolyLAN de l'EPFL.
J'observe les passionnés de jeux vidéo, les arcades rétro, les tournois de jeux en ligne et toutes les activités ludiques liées à l'univers du gaming. Cette convention a une signification particulière pour moi, car je suis à la recherche de quelque chose de spécial, quelque chose qui se cache dans cette convention.
J'ai une passion pour les jeux vidéo, mais je suis aussi fasciné par les énigmes et les mystères.
Je suis donc venu ici à la recherche d'un défi, d'une énigme à résoudre.
J'aperçois au loin un stand avec des étagères remplies de livres et des boîtes en bois sculpté.
Les murs de ce stand sont recouverts de gravures de mécanismes complexes et de dessins de machines volantes. Les gens se pressent autour, certains vêtus de costumes d'époque et d'autres portant des accessoires steampunk.
Je m'approche du stand et remarque une grande boîte en bois sombre qui semble être l'attraction principale. Les gens font la queue pour jouer, alors je me glisse derrière eux pour jeter un coup d'œil. Sur la boîte, il y a une image de ce qui semble être un gentleman anglais, un monocle sur l'œil et une canne à la main, devant un paysage de montagnes enneigées.
Alors que je m'éloigne du stand du Professeur Layton, encore émerveillé par les énigmes que j'ai réussi à résoudre, je me dirige vers le prochain stand, qui semble tout droit sorti d'un rêve étrange. Il s'agit de l'univers d'Alice : Retour au Pays de la Folie, et le décor est à couper le souffle.
Je franchis le seuil du stand, entouré par d'immenses rouages et des mécanismes complexes en mouvement, qui me rappellent l'ambiance steampunk qui règne dans cet univers. Les murs sont ornés de motifs inspirés des créations de Lewis Carroll, mais revisités avec une touche sombre et mystérieuse.
Sur ma gauche, je remarque une gigantesque horloge, avec des chiffres romains qui semblent se mouvoir de manière aléatoire, créant une atmosphère à la fois enchanteresse et déstabilisante. Des lumières tamisées, aux teintes chaudes et cuivrées, éclairent les nombreux objets exposés sur des tables aux pieds en forme de serres de créatures imaginaires.
Je suis irrésistiblement attiré par une vitrine où sont exposées des répliques des armes du jeu, comme le Vorpal Blade et le Pepper Grinder. Je les observe avec admiration, m'imaginant les manier avec aisance dans les combats contre les créatures cauchemardesques du Pays de la Folie.
Tout à coup, mon attention est captée par une animation au centre du stand. Une jeune femme, vêtue de la robe bleue caractéristique d'Alice, anime un atelier de création de chapeaux fous. Les participants s'affairent autour d'elle, utilisant des tissus, des plumes et des engrenages pour donner vie à leurs propres créations délirantes.
Je décide de me joindre à eux et m'installe à une place libre, laissant libre cours à mon imagination. Les minutes s'égrènent, et je suis de plus en plus absorbé par ma tâche, oubliant presque le temps et l'espace qui m'entourent.
Finalement, je termine mon chapeau et le pose sur ma tête , fier de mon travail. Je me lève pour continuer ma visite de la convention, emportant avec moi les souvenirs de cet univers fascinant, impatient de découvrir ce que les autres stands ont à offrir.
Lorsque le vertige s'estompe, je me rends compte que je suis de retour à la convention des jeux vidéo, mon chapeau toujours sur la tête. Je regarde autour de moi, émerveillé par mon périple au Pays de la Folie, et je me demande si tout cela n'était qu'un rêve... ou si, au contraire, j'ai réellement appris à apprivoiser la folie pour retrouver mon chemin.
En me remettant doucement de mon périple au Pays de la Folie, je me décide à poursuivre mon exploration de la convention des jeux vidéo. Je m'approche du prochain stand, dédié au jeu Evoland, un jeu que j'ai toujours trouvé fascinant.
Le stand est conçu pour représenter l'évolution des jeux vidéo, tout comme Evoland le fait à travers son gameplay unique. En entrant dans cet espace, je suis d'abord accueilli par une scénographie en 2D, rappelant les jeux de l'époque 8-bit. Des consoles rétro sont mises à disposition pour que les visiteurs puissent jouer aux premiers niveaux d'Evoland, qui rend hommage aux jeux d'aventure classiques tels que The Legend of Zelda et Final Fantasy.
Je m'installe devant l'une de ces consoles et prends la manette en main, me laissant transporter dans ce voyage nostalgique à travers le temps et l'évolution des jeux vidéos.
Après avoir relevé les défis du maître en énigmes, je me dirige vers un autre stand qui attire mon attention. Il est dédié à Lethis: Path of Progress, un city-builder qui m'a toujours intrigué. Le stand est conçu pour ressembler à une cité de l'époque steampunk, évoquant parfaitement l'esthétique et l'ambiance du jeu.
En approchant du stand, je suis émerveillé par la richesse des détails qui ont été intégrés dans sa conception. Des bâtiments miniatures en métal et en bois, avec des rouages et des tuyaux apparents, sont disposés sur une grande table en forme de carte du monde. Des écrans montrent des extraits du jeu, mettant en avant les différentes étapes de la construction et de la gestion d'une ville dans Lethis: Path of Progress.
Des animateurs, vêtus de costumes victoriens et de chapeaux haut-de-forme, accueillent les visiteurs avec enthousiasme et leur proposent de s'essayer au jeu sur des ordinateurs disposés le long des murs du stand. Je m'installe devant l'un d'eux, impatient de plonger dans cet univers steampunk et de mettre à l'épreuve mes talents d'urbaniste.
En jouant, je découvre les nombreuses facettes de Lethis: Path of Progress, qui mêle gestion de ressources, planification urbaine et résolution de problèmes. Je suis fasciné par la manière dont le jeu parvient à combiner un univers steampunk original avec les mécaniques classiques d'un city-builder.